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À six ans, elle rêvait déjà d’exception. À 25 ans, elle décide que le moment était venu d’inscrire son nom dans l’histoire de la gastronomie africaine. Quitter un emploi stable, affronter les doutes et les réticences familiales, apprendre en autodidacte : Ahoua Touré n’a jamais suivi les sentiers battus. Avec Maison Mandjou, première biscuiterie fine, salon de tisane et traiteur de luxe ivoirien, cette membre de l’Académie culinaire de France prouve que la Côte d’Ivoire a toute sa place dans l’univers feutré de la gastronomie haut de gamme. Rencontre avec une entrepreneure qui ne craint ni l’audace, ni l’excellence.
Africa Lisapo : Comment est née Maison Mandjou ?
Ahoua Touré : C’est un rêve qui m’accompagne depuis l’âge de six ans. J’ai toujours voulu créer quelque chose d’authentique, qui n’avait jamais été fait ailleurs. Une création à travers laquelle je pouvais porter les valeurs, la culture et les traditions
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L’édito d’Africa Lisapo: Là où les voix s’élèvent
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